Les Samoulailles
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 Steel : Présent, passé, futur.

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Steel
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Steel


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MessageSujet: Steel : Présent, passé, futur.   Steel : Présent, passé, futur. Icon_minitime19/8/2007, 19:48

Bonjour, Bonsoir.

Si je n’écris pas ça, je n’aurais jamais été que Steel, le néophyte fantôme. Mais j’ai existé. C’est la raison de l’écrit.

Certains savent… que je pars. Loin. Je retourne dans mon pays natal. J’ai perdu trop d’amis, trop de famille, trop de temps, pour me permettre de rester en Amakna. En conséquent… Je donne ma démission.

Sachez que ce n’est pas votre faute à vous, les Samoulailles. Vous m’avez aidé. Vous m’avez parlé. Vous avez été une partie de ma vie. Cependant… Il est temps pour moi d’arrêter de regarder le passé, et de me tourner vers l’avenir.

Mais… Je ne souhaite pas partir comme un brigand. Je ne souhaite quitter personne comme ça. Je vous transmets, à tous, mes sympathies, mes encouragements… Et mon amitié.

Je lègue aussi mon histoire. Je l’avais déjà envoyé à un des Grands Maîtres, il y a près d’un mois, mais j’ai décidé de la faire partager à tous. Voici, donc.
__________________________________________

Avant tout, sachez que je suis bien né dans le monde des Douzes, mais pas en Amakna ; je viens d’une contrée lointaine, peut être connaissez vous ? C’est la plaine des Hymnes Glyches, nommée ainsi car les autochtones, les Glyches donc, avaient l’habitude de vénérer leur Dieu en leur chantant des odes, des poèmes… Des hymnes, à longueur de journée.

Ma mère était une Glyche, une pure, une dure. Elle était une disciple de la déesse Féca, et se nommait Elbia. Elle débordait de vitalité, et avait une chance… Pour ainsi dire, monstrueuse. Il lui est arrivé une fois de trouver deux gemmes de Guildalogemme dans une poubelle, alors qu’elle faisait les courses en Amakna pour la première fois… Mais là n’est pas le sujet.
Avec son mari, Siks, elle mit au monde un autre disciple de Féca : ce n’était pas moi, pas encore : c’était mon grand frère, Ehrgeiz. Lui était très fort, mais ce n’était pas une brute comme un disciple de Iop : il en avait dans la cervelle, lui au moins. Il est important de parler de lui, sinon je ne serais pas ici, dans la maison des Samoulailles, à écrire ce récit.

Exactement dix ans après sa naissance, je descendis en ce bas lieu. Mon prénom ? Eh bien… Le nom de Steel est particulier au lieu où j’habitais. Il désigne, quelque chose d’encore plus dur que tout matériau existant. C’est en quelque sorte, une bénédiction pour moi, car je ne connaîtrais presque jamais la douleur physique… Mais pour la morale… Bref. Ma mère était toujours avec son mari, mais je la soupçonne aujourd’hui de l’avoir trompé… Avec un disciple de Sram, pour être plus précis. En effet, j’ai découvert très tôt que je disposais de certaines aptitudes inconnues des autres Fécas, telle l’invisibilité. En regardant ma famille, je n’ai vu que des personnes chanceuses ou fortes. Par esprit de contradiction, je me suis tourné vers des livres, afin d’aiguiser mon esprit et mes capacités cérébrales.
En parallèle, j’apprenais l’art du combat avec mon frère, et l’art des manières et de la cuisine avec ma mère ; je n’aime pas en parler. L’éducation d’Ehrgeiz dura six longues années. J’atteignais le premier niveau sur l’échelle du professeur Leuvhèle, personne que je ne connaissais pas encore, lorsqu’il fut jeté hors de la maison, ayant atteint ses dix huit ans… C’est une tradition de la famille, afin que les jeunes apprennent d’eux-mêmes la vie en dehors des murailles de la maison. Il se dirigea donc seul en Amakna, j’avais huit ans à l’époque. J’aurais tellement aimé le suivre, mais Elbia m’en empêcha.

Deux ans passèrent… A dix ans, je vis mon grand-père Xaltar, un disciple d’Enutrof, pour la première fois. Encore un chanceux… Il était très lunatique, et il avait fait de sa vie un unique métier : alchimiste. Ainsi, pendant que nous prenions une infusion de menthe sauvage citronnée, je farfouillais dans la besace de mon papi. Croyant apercevoir du lailait dans une des fioles, j’en versai un peu dans ma tasse… Et je la bus. Quel imbécile j’ai été… C’était une potion de vieillesse, concentrée à 279, 6%, à ce que j’ai compris. Autant vous le dire, ça fait un choc de prendre vingt années d’un coup.
Ma mère et mon grand-père, sans poser de questions, me jetèrent dehors. Eh oui, à trente ans, je n’avais plus le droit de rester à la maison… J’ai pleuré un peu, c’est vrai. Mais j’ai vite décidé de partir vers le Sud, en Amakna. J’avais hâte de revoir mon frère !

J’ai marché un mois, me nourrissant exclusivement de racines exotiques. Lors de mon odyssée, je traversai un grand pont, et je suis arrivé devant un garde, qui me demandait de payer une taxe pour rentrer dans Pandala… Comme c’était le seul chemin, j’ai accepté, bien évidemment. Je me suis débrouillé pour payer, en volant de la monnaie locale, « des kamas », à cet arnaqueur de vendeur. Dans mon pays, nous avons comme monnaie ce qu’on appelle des pièces Gnilrets : c’est le nom de notre souverain, un rat, pour tout dire. Je continue… Je marchais un peu, lorsque je vis un Dojo. Je rentrai dedans, et vis des élèves exercer ce qu’on appelle l’art Pandawushu. Je suis tombé littéralement amoureux de cet art martial. Je me suis procuré les kamas nécessaires à l’inscription et une tenue adéquate, puis j’ai commencé l’entraînement. Et, tous les soirs, j’écrivais. Eh oui, on se rapproche de la fin de mon histoire. J’écrivais sur la vie… les cours… cette belle disciple d’Ecaflip, qui prenait les cours avec moi… Qui m’avait embrassé furtivement, un jour, aussi. Son nom était Hekinawa. C’était, pour ainsi dire, le grand amour. D’une semaine. Nous nous sommes violemment disputés après ces sept jours. Elle m’a fait connaître l’amour, mais elle m’a aussi fait trop de mal. Je ne veux plus jamais la revoir. Bref.

Après trois ans, j’eus une magnifique surprise : Ehrgeiz, mon désormais petit frère (j’avais trente-trois ans, et lui vingt-trois), était avec moi, au Dojo. Il eut du mal à me reconnaître, évidemment, mais bon. Il était dans un sale état : lui aussi avait vécu des aventures, et même des histoires… D’amitié disparue qu’il disait… Ouais, j’pense surtout qu’il s’est fait plaquer. Enfin, ça ne me regardait pas. Dégoûté de la vie, il me donna tout son équipement : des armures, et des armes, avec en particulier une superbe épée : une kwaklame crachant du feu ! J’étais aux anges ! Il garda juste un chapeau du Ploukoss, pour les travaux des champs. Il s’était engagé… Bah, si ça lui faisait plaisir. Il me révéla la route pour rejoindre le village d’Astrub, où pourrait commencer mes vraies aventures. Je devais juste retraverser le pont et suivre la route… Si j’avais su !

Pendant une année entière, je me suis entraîné, contre de vrais monstres cette fois. J’appris également les secrets de l’alchimie, chose qui m’était nécessaire : aujourd’hui encore, je suis persuadé que c’est grâce à une potion que je pourrais retrouver mon âge. Et, un jour, j’entendis parler de mercenaires. De Samoulailles, pour être plus précis. Pensant qu’il aurait sûrement là bas des personnes pouvant connaître les ingrédients qu’il me fallait, et surtout pour renflouer ma trésorerie limitée, je ne le cache pas, je décidai de m’engager.

J’ai passé un entretien avec maître Mahfa. Il ne pouvait pas se dérouler plus mal, à mon goût, à cause de ma difficulté à comprendre les phrases subtiles du code d’honneur, et de mes bégaiements incessants. J’espère que ce n’était pas par pitié qu’il m’accepta parmi les siens.
________________________________________________

Voilà… J’en ai terminé avec mon histoire.
Mes excuses au maître en question, pour qu’il ait eu à relire tout ça.

Bref…

Plus tard, je reviendrais. Semaines ? Jours ? Mois ? Années ? Le temps qu’il me faudra pour prendre du recul. Cette vie a été un jeu pour moi. Je continue la même, mais chez moi, en plus difficile.

N’essayez pas de me retenir, ma décision est prise.

Je n’ai qu’un conseil à donner pour le clan : restez forts, et unis.

N’cha.

Steel.

(HRP : J’ai prêté ce compte à un ami. Si vous me voyez dans la maison, ce n’est pas moi, vous êtes prévenus. Ciao)
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Steel
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MessageSujet: Re: Steel : Présent, passé, futur.   Steel : Présent, passé, futur. Icon_minitime10/11/2007, 18:22

J’ai un peu reculé… Et si je vous parle, ma voix reste audible, pourquoi ?

Salutations.

Le 19 Fraouctor, j’avais écrit… Une lettre, visible à tous, qui passait très bien pour un adieu. Dans cette lettre, j’expliquais que j’avais des affaires à mener loin d’ici, dans un pays relativement peu connu d’Ankama. Ces affaires me concernaient vraiment personnellement, et j’avais honte d’être loin de ceux que j’aimais. (Oui, un bête problème de no-lifitude…)

Cependant, vous me voyiez rôder autour du panneau d’affichage, de temps en temps. Ce n’était que mon double, en réalité, qui était vraiment curieux de l’évolution du clan. Mais je dois avouer que depuis déjà quelques semaines, c’est moi, en personne, qui suis revenu. Toujours aussi curieux, bien sûr.

J’avais aussi dit que je reviendrais un jour. Mais j’avais dit que j’avais démissionné, aussi. Qu’est ce qu’il faut croire ? Il est évident que n’ayant rien fait, pour et avec le clan depuis quelques mois, je ne me considère plus comme Samoulaille. Vous non plus, vous qui lisez ce message, je pense. D’ailleurs j’ai rendu mon uniforme.

Et après ? Eh bien… Avec l’accord des maîtres, je souhaiterais repasser un entretien. Où je me réengagerais à respecter les règles du clan, et tout ça. Bon, eh bien voilà… Tout ça pour dire, qu’il n’est pas impossible que vous me revoyiez d’ici peu à la maison.

*Steeeeeeel !! Qu’est ce que tu fous ! Viens manger, le repas est prêêêêêêt !*

Et zut… Bon, je finis cette pensée rapidement. Il est évident que j’ai pris du recul par rapport à ce monde, et que je me suis très… « attaché » au monde Glychien.
Vous pouvez en tirer vous-même les conclusions.

Je suis conscient que c’est un peu… Comment dire… Enfin, j’espère que vous accepterez mon hypothétique retour, et que vous comprenez mes motivations.

Ah oui, encore une chose. Il y avait un petit dérèglement dans mon âme. Je sais, j’ai honte de cette schizophrénie aigue, aujourd’hui… Bon, voilà, c’est arrangé.
(J’avais prêté mon compte, un peu avant que j’arrête et pendant mon arrêt de jeu)

J’espère, à très bientôt.

Steel.
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MessageSujet: Re: Steel : Présent, passé, futur.   Steel : Présent, passé, futur. Icon_minitime12/11/2007, 23:11

Pour moi,t'es encore des notres. Les samou -retraités ou pas- pour moi c'est pareil : ils ont vecus dans le clan.
Et puis tu es encor neo sur le fofo ^-^°
Bon go in the bed,moi , tshuss ^^
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MessageSujet: Re: Steel : Présent, passé, futur.   Steel : Présent, passé, futur. Icon_minitime

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