Alderande

Chapitre I, Stupeur et tremblements.

[Les premiers chapitres ne concernent pas directement Alderande.]

Il était une fois 12.Non pas les douzes dieux, mais douzes aventuriers, au coeur vaillant, plein d'espoir et de rêves, qui parcourraient le monde en quète de puissance.De "La" puissance.Malheureusement, cette quète secrète, que chacun gardait en soit courra à leur perte...

"Hey Nam ! Mes Kamas ! Fourbe de Sram ! Rend-moi ça !"
Myre, jeune Eniripsa aussi puissant fut-il sautait.Oui sautait, tentait d'attrapper sa bourse, qu'un Sram tenait fièrement de sa main droite.Nam, le Sram, donc, inutile de le redire, se contenta de sourire, et d'agiter fièrement la petite bourse de cuir au dessus de Myre.Une des toiles de tente s'ouvrit.Une Craette en sortit, se frottant les yeux, l'air renfrognée.
"Vous deux.Vous pourriez peu être faire moin fort, non ? Tout le monde vous entend, et vous empêchez les gens de dormir."
L'Eniripsa grogna, tapa du pied, et pointa le Sram du doigt.
"C'est lui qu'y a commencé ! C'est pas moi !"
Nam laissa tomber la bourse au sol, l'Eniripsa se jetant dessus, comme si c'était son bien le plus précieux, et ca l'était.Il rabaissa son châpeau, et se dirigea vers une des nombreuses petites tentes, au fil de soie tissé par les araknes majeurs, de la Abra'CKnyde.Corp, souleva le tissu qui devait servir de porte et disparu derrière celle-ci.La Craette observa Myr.
"Nastasya...Nous marchons depuis des jours...Et euh..."
L'Eniripsa serra la petite bourse contre lui.
"Je n'en peux plus.Tant d'aventures pour rien..."
Nastasya bailla, et, de son air endormi propre au réveil difficile, elle se contenta de répondre.
"On verra Myre, on verra.Un jour nous aurons ce que nous recherchons.En attendant, demain est un autre jour.Bonne nuit !"
Elle s'en retourna vers la tente.Myre resta encore un moment là, assit, la bourse serrée contre son coeur, levant les yeux vers le ciel sombre, observant le ciel, étoilé, et la lune.La pleine lune.


La nuit avait été longue...Ou pas, pour les douzes.Ils étaient tous réunis autour d'un petit feu de camp.L'Ecaflip se leva soudainement, et dit.
"Compagnons, il est venu le temps de lever les voiles."
Tous écarquillèrent leurs deux yeux, surpris de la nouvelle.
"Tu as toujours de bonnes idées, l'ami, mais là, je ne te suis pas."
Répondit Myre, accroupi sur la pierre plate qui lui servait de siège.
"Ecoutez, les rumeurs courrent vite.Elle est là ! A portée de main ! Elle !
La jeune Sacrieuse, lunatique, leva les yeux au ciel, et observa le soleil.
"Elle...Soit...Mettons nous en route...Elle attend...Evitons de marcher à Midi, le soleil sera à son plein, il ferait trop chaud..."
Nastasya parrut perplexe.
"Où ? Quand ? Comment ?"
"Dans une immense tour, qui se dresse dans un vieux village dévasté, Gisgoul.Il se trouve près de Brâkmar, dans la lande de Sidimote."

La lunatique, Sacrieuse au nom inconnu.

Chapitre II : La lande sinistre de Sidimote
Le voyage était long, trop sans doute.Bien que "la lunatique" ai dit de partir tôt, tous s'étaient mis en route sur le coup de 11 heures.Il était à présent midi, et l'estomac de chacun criait famine, mais il fallait continuer.Elle attendant, elle.Elle ne pouvait attendre.Chacun d'entre eux portait un sac à dos qui contenait leur propre tente, ainsi que quelques affaires.Le strict minimum, il ne fallait pas s'encombrer, de peur de perdre des biens précieux au cours des batailles, ou ne serait ce que pour leur dos.Car oui, les douzes voyagaient beaucoup à travers le monde.Et ce qu'ils avaient cherché depuis si longtemps était lo, là, présent.Ils marchaient...
Des jours passèrent, puis bientôt une semaine.Le Sram sourit.Il retrouvait son "chez soit", la lande de Sidimote.Non, bien sûr, il ne vivait pas là bas, mais c'était en quelque sorte son foyer, l'endroit où il se sentait le mieu dans tout le monde.A vrai dire, il se reposait dans cette lande, le jour où il avait rencontré les autres.Le début d'un voyage, qui serait également le therme de celui-ci.La Sacrieuse observait toujours le ciel, rêveuse.Myre regardait à droite, puis à gauche, baguette en main, prêt à empêcher n'importe qui d'attaquer le groupe.Le Pandawa et l'Ecaflip marchaient derrière.Le Pandawa, peu de personnes lui parlaient.Ce serait difficile à croire, mais c'était presque de la discrimination.Pourquoi ? Tout simplement parcequ'en ces temps, le pont qui relie Pandala à Astrub n'existait pas.Il était donc un des rares Pandawas sur les terres en ce temps là, ce qui hatisait à la fois la curiosité et le mépris.L'Ecaflip lui, était toujours enthousiaste, et prenait généralement les grandes décisions, les destinations principalement.La Iopette, charmante comme à ses habitudes avancait en regardant dans son petit mirroire de poche.Quand on lui demandait pourquoi elle observait toujours son refflet, celle si se contentait de répondre "Je contemple le futur du monde".
Nastasya, elle, en avait toujours plein les bottes.Elle detestait la marche par dessus tout.Le Feca observait la lande, et lancait régulièrement de sorts de protection sur le groupe, tout simplement parcequ'a cette époque, la lande était un des endroits les plus dangereux d'Amakna.Bien sûr, elle l'est restée.Les autres, marchaient, tranquillement.Je m'attarderais peu être sur eux plus tard.
"J'en ai marre ! Je veux faire une pause."
Lanca Nastasya, qui s'assit sur le sol, sous le regard des onzes autres, qui acceptèrent de faire une pause.La Sadidette, on ne l'entendait jamais.Non pas qu'elle fut snobée, mais elle dormait beaucoup.Oui, la moindre pause et elle s'endormait.Car oui, Sadida prie son dieu en dormant.Ne pas dormir c'est manquer de respect envers celui-ci.
Max, l'Ecaflip, croqua dans une pomme.Le Sram, lui, comptait les Kamas de l'Enutrof, fier de sa bourse, et en profitait pour piquer quelques pièces.Myr observait les onzes autres, avec le plus grand interêt.Aucun d'entre-eux ne brisa le silence digne d'une église.Le soir, ils montèrent les tentes dans un coin tranquille, prenant soin de bien éteindre le feu pour ne pas attirer les monstres du coin.La nuit passa, sans accrocs.Le lendemain matin, pour la première fois, tous étaient levés à l'aube.Oui, à l'aube.Chacun d'entre eux avait le coeur qui battait à la chamade.Aujourd'hui, oui aujourd'hui, ils allaient la trouver.



Chapitre III : Elle, et le pacte de Rushu.
Comme d'habitude, la troupe marchait, pour ne pas changer.Ils marchaient depuis l'aube, comme je l'ai dèja dit.Tous ensemble, en groupe, tous, armes en main.Car oui, personne, oui, personne, ne pourrait les arrêter, là, maintenant, si près du but.L'Osamodette, accompagnée de son fidèle compagnon le tofu, marchait dans les premiers rangs, elle était en forme, ce matin là, comme tous les autres.le Xelor, secrètement amoureux de L'osamodette, marchait à côté d'elle, son côté neutre toujours présent.Enfin, les premiers débris aparaissaient.Oui, en ce temps, Gisgoul était dèja (?) dévasté.Enfin, cette histoire ne remonte pas à des millénaires non plus.Des Bworks étaient ici et là, certains furent térassés, d'autres prirent la fuite.
"Hey Max, c'est encore loin ?"
L'Ecaflip ne répondit pas.Il ne se retourna même pas vers l'Eniripsa, n'afficha même pas l'ombre d'un sourire.Impassible.Ils marchaient, à travers une discution très animée.L'Enutrof lui, s'offrirait un coffre fort géant dans une ville avec les milliards qu'il allait gagner grâce à elle.La Sacrieuse, elle, fonderait un village.Le Sram lui, deviendrait maitre de Brâkmar.Myr voulait renverser le roi, et devenir roi à sa place, l'Osamodette rêvait d'un monde en harmonie avec la nature, le Xelor voulait une place parmis les horloges de Xelor, l'Ecaflip lui n'avait pas de rêves.La Crâette et la Sadidette avaient le rêve commun d'une marque de vêtements surpuissante, qui leur permettrait de dominer le monde à leur façon.Le Pandawa, lui, voulait creer un monde, sans discrimination.
J'en oublie peu être, mais les buts étaient tous différents, plus ou moin farfelus.Car oui, chaque être humain a ses propres rêves et envies dans ce monde.Mais le point commun, c'est que tous voulaient la puissance.La puissance sur quelque chose, quelqu'un.Enfin, elle se dressait, là.La tour, aussi immense fut-elle.L'Ecaflip rentra le premier.Lorsque les onzes autres autrèrent, celui-ci c'était dèja précipité au fond de celle-ci.Tous observaient la pièce.Froide et sombre, elle semblait murmurer de sombres récits.Myr marcha dans une flaque de sang mais n'y prêta pas attention.Tous en étaient persuadés, un lieu aussi caché et sombre renfermait forcément l'objet de leur visite, la puissance.Et puis, l'Ecaflip l'avait dit, et jusqu'a présent, jamais son flair n'avait trahis.Ils marchèrent.Lentement certes.Leurs coeurs battaient tous au même rythme, on aurait presque pu les entendres.Discrètement, le Xelor et L'osamodette c'étaient pris la main.Ils entrèrent enfin dans la dernière, l'ultime pièce.Au centre de celle-ci, sur un dessin de sang se trouvait l'Ecaflip, qui leur tournait le dos.Il avait deux dagues, grises, gravées de marques rouges.Il rit.
"Qu'est ce que tu..."
Commenca Myr, qui s'avancait vers l'Ecaflip, baguette en main, mais qui, malgré lui fut retenu par la Iopette.L'Ecaflip prit une longue inspiration et commenca.
"Oui.Je vous ai mentis, à tous.C'était trop facile."
Tous restèrent silencieux, non pas un silence d'église, mais d'enterrement, ce qui finalement revient presque au même.
"JE vais avoir la puissance, la puissance absolue.J'ai conclu un pacte avec Rushu ! En lui apportant vos onzes corps, il a juré de me récompenser de la puissance infinie, et de la vie eternelle ! Mouaha."
Nam parrut perplexe.
"On ne conclut pas de pacte avec les démons.Non, c'est impossible, il te manipule, voit la véritée en face."
L'Ecaflip ricana, d'un rire sombre, sadique.Il envoya une dague qui vint se planter dans le coeur de la Sadidette, qui s'écroula.
"Voyez ! Voyez la puissance qu'il m'a dèja confié !"
Un violent combat s'en suivit.Effectivement, l'Ecaflip les tuas, tous.Ce fut un massacre, un massacre sanglant, dans lequel l'Ecaflip n'éprouva plus aucun sentiments.Il disposa ensuite les corps comme la voix du démon l'avait décrite,placant les corps par rapport à l'autel.Il se placa au centre et récita une incantation.
"Rushu ! J'ai tenu ma promesse ! Il est à toi d'en faire de même !"
Il sourit, tristement.Une voix s'éleva dès lors dans la pièce sombre, souillée de sang.
"Ces sacrifices étaient merveilleux.Comme promis, je t'offre la puissance eternelle...Celle de la mort.L'Ecaflip eu à peine le temps de cligner des yeux, que dèja, les deux dagues s'étaient retournées contre lui.C'était la fin.Les douzes corps avaient disparus, mystèrieusement.Certainement un vieux rituel, ou peu être avaient t'ils étés dévorés par des monstres de la région.Les deux dagues disparurent, une seule uniquement restant dans ce temple ancien, dans l'autel.Ce que personne ne sut, c'est que les onzes tués furent enfermés dans une des dagues, qui fut scellée dans l'autel.L'Ecaflip lui, fut enfermé dans l'autre dague, dont la position reste inconnue.




[Voilà, on pourrait mettre ces trois chapitres dans un seul et unique, qui parle des douzes esprits qui suivent Alde un peu partout.Même si ca vous éclaire HRP parlant, n'oubliez pas que cette histoire vous est inconnue en RP.La suite du BG d'Alde arrivera bientôt, et parlera cette fois-ci, vraiment, de celui-ci.]

[Pour ce qui est des images des personnages, j'ai utilisé le générateur d'avatar d'Everhate, un bon p'tit site.]

Ah bah... C'est moche. Enfin pas l'histoire, mais ce qu'elle à fait la meuchante.

Sinon, c'est bien écrit, et tu laisse le suspense s'installer entre chaque chapitre.

Bon sinon, je peux pas écrire plus, j'ai sommeil, je vais dormir.

[HRP: Nos persos sont pas sensés connaitre les textes de la bibli?]

Quelle histoire.Mais vivement la tienne, Alderande.

[Hrp : Effectivement, c'était une remarque idiote de ma part ^^ Faites comme si je l'avais pas écrite ]

"Le chevalier Roland s'en vint à la tour sombre..." huhu :3

C'était mignon l'histoire de ces héros, notamment le xélor et l'osa ^-^... (^'^)

Dommage qu'ils finnissent ainsi x_x... Ca donne envie de savoir la suite !

Chapitre I : Alderande
Il éxistait en Amakna deux personnes, qui se fondaient dans la masse, comme tant d'autres. Et pourtant, leur histoire était particulière. Maïne était une jeune femme Sram, voleuse, envoutante, le père d'Alderande, Narth était un Féca, célèbre sculpteur de bâton de la région, dont la famille était connue pour ses nombreuses richesses.
C'est sur un marché qu'ils se sont rencontrés pour la première fois, d'une certaine manière. La sram s'approchait doucement de l'étalage, sa coiffe Akwadala cachant ses yeux. Elle fit mine de s'interesser aux marchandises, et dès que le vendeur -en locurence Narth- eu les yeux tournés, la Sram s'empara du plus précieux bâton de celui-ci. Se retournant juste à temps, il se lanca à sa poursuite. Celle-ci dura un après midi entier -Les Srams c'est comme l'argent, ca part vite-, jusqu'a ce qu'ils soient épuisés, dans un angle de rue. Ils se regardèrent.
[...]
Maïne et Narth s'aimaient, de cette union impossible naquit Alderande.
Comme tout beau portrait tout craché, les deux familles ne s'aimaient pas, se detestaient depuis la nuit de temps -ca n'aurait pas été drôle, sinon, et puis, y'aurait rien eu à écrire-, ce qui poussa les deux personnes à s'en aller, loin d'Amakna, un certain temps.

Chapitre II : Le pacte de Rushu

Un membre de la famille de Maïne était tombé malade dans l'année. Il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre, aussi celle-ci pria t'elle son mari de bien vouloir l'enmener, juste pour cette fois en Amakna, à Bonta.
Un accord de trop, le mari -qui ne pouvait rien refuser à sa femme- accepta.
Alderande était encore jeune, et regardait avec un oeil attendri les grands murs de la cité blanche. La maison de la famille de Maïne était relativement petite, dans un coin reculé de la ville -les voleurs ne sont jamais très appreciés-.
Après s'être brièvement salués, le père de la Sram l'amena à l'étage. Sur le lit reposait sa mère, Mayne.
[...]
La journée passa. Maïne qui ne pouvait en supporter plus décida de repartir immédiatement, prenant Alderande par la main -qui n'avait pas fini de s'extasier sur le Chacha de la maison-, claqua la porte, accompagnée de son mari, et s'en alla. Trop tôt, trop tard.
Une attaque était lancée sur Bonta, les Brakmariens firent des prisonniers. La famille d'Alderande était des leurs, bien qu'ils n'aient jamais étés Bontais.
[...]
Sidimote était vaste, sinistre. D'autres personnes suivaient la file sans mot dire. Alderande, qui ne comprenait rien à rien, regardait de tous les côtés, pensant voir un petit papillon -ou un chacha, au choix-, de derrière un arbre, de derrière un débris de maison. Gisgoul. Aujourd'hui encore, il ne reste rien de ce village.
"Maman, j'ai peur."
"Moi aussi."
Ils entrèrent dans la tour -ou temple, qui sait-. De faibles lueurs s'élevaient dans la pièce. Maïne cru appercevoir un instant une statue typique du temple Sram. Ils descendaient à présent un escalier, la peur au ventre. Narth cherchait une solution...Mais il était impossible de s'enfuir, ils étaient entourés de miliciens Brakmarois. Ils furent laissés là, en plan, en file, dans une vaste pièce. Une personne, dans le fond, poussa un cri d'effroi, en voyant la statue de Rushu -vraiment des petites natures les bontais-, mes parents, eux, priaient. Il n'y avait plus rien à esperer. Plus rien.
Plus soudain, plus rien. Une lumière, une image, une femme, plus plus rien. Alderande était arrivé dans la cité des mercenaires, la cité vivace, Astrub.
"Maman ?"
L'image de la personne disparue, sans mot dire.
"Mamaaaan ?"
Loin de là, Maïne et Narth se regardèrent.
"Dieu merci. Neh..."
Elle s'interrompit, il y avait du grabuge. Tout le monde courrait dans tous les sens, des miliciens tombaient...

(Voici les deux premiers chapitres, la naissance d'Alderande, et sa séparation, avec ses parents. Nul ne sait encore ce qu'il est advenu d'eux, d'ailleurs...Je vous propose ensuite une selection de musique (J'ai repris l'idée de Sin, pas taper, hein ?)

Maïne & Narth
Alderande
Les 13, combat dans la tour

Huhu, je sais maintenant l'effet que je donne à mon texte en lui mettant une chanson. =p

(Fais attention aux répétitions, du genre "il se lanca à sa poursuite. La poursuite", et aussi celle sur les batons dans la prase d'avant. J'dis ça c'est que les critiques sont toujours plus utiles que les compliments.

Et t'es la seconde personne que je connaisse qui m'ai "piqué" mon idée de mêler texte et musique, sans compter Mitsumy.

^-^)

(C'est ça le lyrisme . Sauf que, bon c'est quoi le trip sur "Hack" ?
Chacun son style, celui d'Ald n'est pas mal.)