Les Samoulailles
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Clan de mercenaire
 
AccueilRechercherS'enregistrerDernières imagesConnexionPortail
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Tourbière, Yumatoh Kelam

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Sin-dee

Sin-dee


Nombre de messages : 444
Date d'inscription : 25/11/2006

Tourbière, Yumatoh Kelam Empty
MessageSujet: Tourbière, Yumatoh Kelam   Tourbière, Yumatoh Kelam Icon_minitime27/11/2007, 12:03

Citation :
Voici une histoire écrite par mon acolyte, Yumatoh (mon autre perso), primé dans le zooooooornal comme la meilleure histoire qui fait peur pour le concours d'halouine.

(ici le lien pour lire le zooooooornal)

Hum, sinon le voici dans son édition papier, puisque le zooooooornal est édité sur des arbres, et ce serait dur de l'emmener ici en entier. x_x

(Et aussi ça me permet de changer la mise en page, assez desastreuse dans le zooooooornal. ><)

Voilà. ^-^

Tourbière



Un long fil, invisible ou presque, et à son bout une arakne qui descendait lentement, lentement, jusqu'à atteindre le parquet d'une maison en bord de mer. Voilà la seule créature qui m'accueillit ce soir là, malgré tous les honneurs dont on m'avait gratifié la veille, et la promesse de m'aider tout au long de mon enquête.

L'arakne prit peur en me voyant débouler dans la pièce, elle devait se croire seule pour un bout de temps. Elle traîna ses quatre pattes aussi vite qu'elle put, escaladant une chaussure à toute vitesse, une chaussure de marche boueuse, qui avait l'air d'avoir servi depuis peu de temps. Puis elle gravit le pantalon en toile grise, vétuste et usé, plein de boue lui aussi, comme si la personne qui le portait était tombé dans une…

"Tourbière…"

Le mot était venu en moi comme un murmure d'outre-tombe, une voix se penchant sur mon épaule et qui me soufflerait ces derniers soupirs. L'arakne continuait son chemin sur le corps de l'homme. Elle arrivait à présent à sa peau grisâtre et froide, parcourant sans gène le visage blême. Il était mort, cela ne faisait aucun doute, l'arakne marcha à pas feutrés sur sa bouche ouverte, puis elle escalada le nez, et passa entre les deux yeux éteints, mais ouverts…

Je me rapprochai enfin du mort, pour mieux l'examiner, et je fis partir l'arakne d'un mot de frayeur bien dosé, histoire d'avoir la paix. La seule blessure qu'il avait, c'était des traces d'étranglement au cou, visiblement par une corde. En vérité il me fallut à peine deux secondes pour dégager le cou du défunt, et y voir cette fameuse corde l'enlacer par son nœud coulant. Il avait de la boue partout sur son corps, et même sur le visage, et il était difficile de voir la couleur de ses yeux, à cause de la nuit qui commençait à tomber.

Je me relevai, brusquement dégoûté par ce que je voyais. Cet homme avait souffert à sa mort, il avait l'air d'avoir vu…

"Tourbière…"

la mort en face. Je me retournai pour examiner le reste de la pièce, et tombai nez à nez avec un homme. Sur le coup je sursautai, puis je m'aperçu que c'était une vieille connaissance. Un petit corps svelte, des ailes grises, les cheveux et la peau sombre…

"Ce n'est que moi sombre nouille", me dis-je en fixant le miroir des yeux. Dans la pénombre mon propre reflet m'avait effrayé. Cela faisait quelques mois que j'étais sériane de rang, mais jamais une mission ne m'avait parut aussi étrange que celle-ci, enquêter sur la mort d'un homme… Je regardai mon image dans le miroir, j'avais l'air maigre, à la limite du squelettique, en tout cas pas dans mon assiette. Je me décidai à poursuivre mes investigations encore cinq minutes et après, j'irais au lit.

Dans un coin du miroir, on apercevait le mort, mais l'angle de vue faisait qu'on ne voyait que sa tête de dos, il avait l'air de dormir paisiblement vu comme ça. Ses cheveux blonds étaient parsemés de petits paquets de boue, et ils étaient sales et gras, mais à part ce détail, il paraissait normal, presque vivant. Juste endormi…

Je contemplai encore un peu ce splendide miroir, comme fasciné par sa grandeur et sa majesté. Il avait des bordures en or, et je m'y voyais presque tout entier dedans. Je n'avais vraiment pas l'air en bonne santé, mon teint était assez pénible à voir. Je me demandai à cet instant ce qu'il se passerait si mes amies de la taverne me voyaient ainsi, j'avais la mine fatiguée, presque éteinte.

"Tu viendras à la tourbière…"

Ce n'était pas une voix dans ma tête. Ca venait de derrière moi. Le mort, il… il me fixait de ses grand yeux jaunes, je le voyais dans le reflet du miroir, il venait de tourner la tête ! Je n'arrivais pas à me retourner, le mort me scrutait toujours de ses grands yeux jaunes, j'étais pétrifié.

"La tourbière est…"

Le mort venait d'ouvrir la bouche, de parler… et laissa s'échapper un petit tas de boue, qui le fit taire. Il laissa la boue dégouliner de sa bouche, sans même se donner la peine de tousser, puisqu'il ne respirait pas. Je pressentais qu'il allait se lever, mais je n'osai plus faire un geste, soudain son dos se souleva.

Je me retournai brusquement vers lui, mais il ne bougeait plus. Il avait même changé de place, ou plutôt non, il était revenu à sa position initiale. Je craignais alors de me retourner vers le miroir et de revoir le même mort bouger, pourtant…

Je sorti en hâte de la maison, puis atterri sur le sol sablonneux. La cabane qu'on m'avait prêtée était à deux pas du lieu du crime. Pour cette mission je devais absolument rester sur l'île d'Otomaï tant que le meurtre ne serait pas élucidé, mais cela me faisait peur à présent.

Sans parler de cette drôle d'apparition, il y avait trop de détails qui n'allaient pas. Déjà on avait demandé à un sériane de mener l'enquête, alors que l'homme était un officier à la solde de Bonta. Ils avaient leurs propres enquêteurs dans l'armée, des gens qui savaient passer sous silence certains détails, pour ne pas que l'on découvre certaines pratiques douteuses, et certains ordres top secret…

Oui, j'avais connu ça un temps, les ordres secret entre les deux cités, les arrangements douteux, et les enquêteurs arrangeant qui devenait muets et ignares sur demande. Le fait de confier l'enquête à un mercenaire neutre était assez étrange. Pourquoi prendre un tel risque, surtout pour un meurtre aussi spécial ?

Oui, c'était sûrement un meurtre, enfin, on le lui avait dit, et puis on n'aurait pas ouvert d'enquête sinon. Le mort avait pourtant l'air de s'être suicidé, de prime abord. Il y avait les traces de boues sur le sol de l'entrée, et puis on l'avait retrouvé pendu. Pourtant, il avait le visage trop effrayé pour quelqu'un qui sait qu'il va mourir.

Enfin, s'il était vraiment mort…

Un bref frisson me parcourut l'échine en y repensant, cette vision d'horreur dans le miroir, d'où venait-elle ?

Je décidai de passer à autre chose, et me servis un verre de vin. Oui, je sais, le vin c'est cher vu qu'en Amakna il n'y a pas de vigne et qu'il faut le faire importer, mais la bière fait un peu trop grossir à mon goût, et le métabolisme des disciples des eniripsa n'est décidément pas adapté à recevoir l'alcool pandawaien sans défaillir. Bref, je buvais donc un verre ou deux, avant de dormir.

Le vent butait contre la vitre de ma cabane en bois, et à ce moment je n'arrivais pas à comprendre comment les gens pouvaient vivre dans ces conditions. D'ailleurs la cabane du cadavre était plus spacieuse, mais je n'osais pas y aller, même si les morts, en théorie,

"Tourbière…"

ne se relèvent pas…

Autre fait étrange, on m'avait donné une cabane le temps de mon enquête, alors qu'il y a une crise du logement dans ce village, et que j'aurais pu dormir dans la maison où avait été tué cet homme. D'ailleurs, il avait été retrouvé pendu, mais pourquoi l'avait-on décroché sans pour autant le déplacer ailleurs pour l'enterrer ?

Pourquoi était-il plein de boue au fait…

Je retournais cette question dans ma tête, à mesure que je me tordais dans mon lit. Pourquoi était-il couvert de boue ?

J'essayais de dormir, mais tout effort était vain. Petit à petit montait en moi la peur de la mort, je sentais qu'un cadavre allait sortir de dessus mon lit pour venir m'attraper. Le vent au dehors sifflait une lancinante berceuse, et je commençais enfin à rêver. Avant de sombrer j'eus l'impression que quelqu'un, ou quelque chose, frappait à la porte, mais j'avais bien trop peur pour oser me lever. En rêve j'aperçus

"Tourbière…"

le mort que j'avais quitté il y cinq minutes. Il me parlait, mais sa voix était presque inaudible. Je ne parvenais pas à comprendre. Il était là devant moi, devant mon lit, dans cette cabane mitée.

Je me réveillai en sursaut. Il n'y avait pas plus d'homme mort dans ma chambre que de vin dans mon verre. D'ailleurs l'analogie au verre me donna envie de me lever et de le remplir. J'avais rêvé, c'était évident, mais pourquoi fallait-il que la nuit dure si longtemps ? A ce rythme là j'allais mourir d'une crise cardiaque avant que le jour ne se lève, et il n'était plus question de me recoucher, je ne serais jamais arrivé à me rendormir.

Sur mon bureau on avait déposé quelques papiers chiffonnés, comme autant d'indices récoltés ça et là par d'autres. Je pris celui qui me paraissait le plus pertinent, c'était un carnet, celui de mon prédécesseur. En effet les gens qui m'avaient engagé m'avaient dit qu'un autre homme c'était occupé de l'enquête juste un jour avant, mais il était parti sans prévenir, emportant toutes ses affaires avec lui, excepté ce carnet qu'il avait du laissé en cadeau à celui qui reprendrait son travail. Le carnet était étrangement humide, et de la boue séchée recouvrait sa couverture de cuir.

Les notes étaient en vrac, et l'écriture souillonne et bardée de fautes. J'arrivai quand même à déchiffrer le gros du texte, mais ce que je lisais ne me faisait pas réellement plaisir :

Citation :
" Toi qui est venue à la tourbière, n'ai pas peur, porte ma dépouille encore jusqu'à la tombée du jour, et meurt en silence… Notre roi est grand, tu ne seras plus jamais malheureuse…Notre reine est bonne, tu ne manqueras de rien en sa compagnie. Nos frères sont vaillants, soit sure que personne ne saura notre secret, tu ne seras plus jamais malheureuse…"

Ce message était une citation visiblement, qui s'adressait à une femme, mais la suite du texte venait directement de son collègue, il expliquait tout ou presque…

Citation :
"Mot trouvé écris (en lettre de sang) sur le miroir de la salle à manger… Pas sut ce que c'était…Le mort a pas trop l'air décider à en parler.

[…]

J'ai trouvé une lettre de sa petite amie aujourd'hui, elle disais…"

La suite était peu lisible, et peu détaillée, et puis de toute façon je me suis dit qu'il devait y avoir trace de cette lettre dans les papiers que j'avais. Je ne mis que peu de temps à la trouver, c'était à n'en pas douter elle, elle était adressée à Yvan de la Mer d'Asse, précisément le mort sur lequel j'enquêtais. L'écriture était ronde et fine, mais quelque peu troublée dans ses courbes, et d'après ce qu'elle disait, on devinait qu'elle faisait suite à une lettre de son amant.

Citation :
"Mon amour, je ne sais pas pourquoi tu refuses de me voir, avant-hier encore tu me disais que je te manquais, que j'étais la seule personne chère à ton cœur, et voilà que ce matin je reçois cette lettre.

Pourquoi me dire adieu si précipitamment ? Pourquoi ne devrais-je pas te rejoindre ? Je ne peux pas croire que tu ais pût trouvé une autre fiancée là-bas, c'est impossible ! Tu me mens n'est-ce pas ? Tu ne peux pas oublier ces deux ans de vie à deux. Mais pourquoi ? Aurais-tu un secret à cacher ? Si tu es blessé, ne cache pas tes mots, je viendrais veiller sur toi…

S'il te plait, répond moi…

Je t'aime."


Dernière édition par le 27/11/2007, 12:04, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Sin-dee

Sin-dee


Nombre de messages : 444
Date d'inscription : 25/11/2006

Tourbière, Yumatoh Kelam Empty
MessageSujet: Re: Tourbière, Yumatoh Kelam   Tourbière, Yumatoh Kelam Icon_minitime27/11/2007, 12:03

Citation :
Je repris alors la lettre de mon collègue, il avait visiblement étudié la chose plus en avant :

Citation :
"La lettre a été envoyé deux jours avant la mort du bonhomme. L'a t'il lu ?

[…]

Enfin du nouveau…

Résumé des faits :

- Yvan de la Mer d'Asse envoie une lettre d'adieu à sa chérie.
- Elle lui répond directement, en lui disant qu'elle veut le voir.
- Yvan et sa troupe son envoyé en éclaireur dans la zone des tourbières nauséabondes pour le compte de l'armée Bontalienne, mais la mission s'arrête très vite lorsqu'un de leur compatriote se fait littéralement "aspirer" sous terre par un (une ?) ouassingue…
- Le lendemain on retrouve tous les soldats mort dans d'étrange conditions, il semble que tous se soient suicidé de différentes façons.
- La petite amie est introuvable, certains témoins affirme l'avoir vu prendre le bateau pour l'île d'Otomaï à Sufokia."

A ce moment je stoppai ma lecture, et laissai mon verre de coté. Je n'avais jamais entendu parler d'autres morts que celle d'Yvan de la Mer d'Asse, pourtant, c'était étrange qu'on ne m'ait rien dit. En y réfléchissant les hommes de Bonta qui m'avaient engagés ne m'avaient pas dit grand-chose de vive voix, si ce n'est des détails pratiques sur la cabane qu'ils avaient louée pour moi, mais rien sur le meurtre.

D'ailleurs pourquoi croyaient-ils à la thèse du meurtre ?

Je continuai ma lecture cependant, parcourant quelques lignes, mais je n'y trouvai rien d'intéressant. Puis ce fut le déclic. On avait vu la petite amie prendre le bateau à Sufokia ! Cela faisait cinq ans maintenant que les bateaux pour l'île d'Otomaï ne partaient plus de Sufokia, mais d'un petit port construit près du zaap de la presqu'île des dragoœufs !

Et, en y réfléchissant, je me souvenais avoir entendu parler des toutes premières expéditions de l'armée Bontaliennes dans les tourbières nauséabondes, et la rumeur disait que ceux qui en ressortaient vivant finissaient par se tuer… Etait-ce il y a cinq ans ? Je n'en avais pas la moindre idée… Je relisais fébrilement les différents paragraphes du carnet boueux, à la recherche d'une date quelconque, mais rien, c'est alors que je repris ce passage :

Citation :
" Toi qui est venue à la tourbière, n'ai pas peur, porte ma dépouille encore jusqu'à la tombée du jour, et meurt en silence… Notre roi est grand, tu ne seras plus jamais malheureuse…Notre reine est bonne, tu ne manqueras de rien en sa compagnie. Nos frères sont vaillants, soit sure que personne ne saura notre secret, tu ne seras plus jamais malheureuse



Mot trouvé écris (en lettre de sang) sur le miroir de la salle à manger…"

Le miroir de la salle à manger ! Cela ne pouvait être que le miroir dans lequel il s'était vu lui et le mort ! A moins qu'il y ait une autre grande pièce, mais cela m'étonnait fortement dans une si petite maison. Il fallait absolument que je découvre la vérité par moi-même !

Je finis la bouteille de vin que j'avais entamée avant de me coucher, prit ma baguette du tison futé pour m'éclairer (ou me protéger, je ne savais pas trop), et je sortis dans le froid de la nuit. Je traversais la rue déserte, guidé par mes seuls pas dans l'obscurité, ma peur s'était quelque peu endormie grâce à l'alcool, je suppose.

Je rentrai dans la maison, il faisait trop sombre pour distinguer la forme du corps du cadavre, et bizarrement il n'y avait plus la moindre odeur de chair en décomposition, juste celle de la terre. J'allumais une lanterne avec ma baguette, pour m'apercevoir avec effroi que le corps n'était plus là… Soudain un étrange cri se fit entendre dans la nuit, comme un cri d'agonie qui venait du dehors. Je rentrai dans la maison à reculons, tétanisé. Et ce fut à cet instant que je vis le message sur le miroir, un message écrit en lettre de sang. Il n'était pas là quand… bah oui sinon je l'aurais vu, qui avait bien put l'écrire ? Je me rapprochai lentement du miroir, dans les lueurs dansantes de la lanterne. Il était marqué, d'une écriture ronde et fine :

"Tu es né de la terre,
Tu retourneras à la terre.
Joins-toi à notre reine mère,
Pour l'éternité
Dans la tourbière."


Le message était écrit en lettre rouge sang, et à moitié effacé, mais je reconnaissais l'écriture d'une femme, de cette femme… juste en bas du message un autre, écrit dans une écriture que je ne connaissais pas :

"Fui pendant que tu le peut
encore, ell est la
elle te
cherch"


Je m'étais approché du miroir pour lire ce dernier, écrit lui aussi en lettre rouge vif, en lettre de sang sûrement, mais d'une main fébrile et qui trahissait une angoisse certaine, notamment à cause des fautes d'orthographe flagrantes. Soudain la porte de la maison s'ouvrit en grand, et une bourrasque entra dans la maison, faisant tomber la lanterne qui se brisa et rendit la pièce totalement sombre.

Je me relevai en grande hâte, puis allumai ma baguette d'une étincelle… Je vis juste le miroir devant moi… Il reflétait une femme aux yeux jaunes, qui soufflait dans mon cou en souriant… Ses doigts squelettiques et boueux s'étaient déjà refermés sur mes épaules, à tel point que j'en ressentis le frisson jusque dans mon ventre… Elle ouvrit sa bouche terreuse et puis plus rien… J'étais déjà parti, sous terre…



"Dis-moi chéri, tu la trouve comment cette maison là-bas ?

- Hum, je sais pas, personne ne l'a jamais acheté il parait…

- Bah pourquoi ?

- On m'a dit qu'un homme s'était suicidé ici il y a longtemps, lui et sa fiancée, et, que une fois tous les deux ou trois ans, les cadavres de ses deux amants surgissent de terre pour revenir hanter les vivants…

- Tu va quand même pas y croire chéri ? C'est la maison la mieux placée de tout le village d'Otomaï ! Aller, m'amour… On la prend !

- Je sais pas trop…

- Fais-le pour moi, et pour le bébé…"

C'est ainsi que, 4 ans après ma mort, je vis un couple d'amoureux rentrer dans la maison… Dans ma maison !


Yumatoh Kelam

Tourbière, Yumatoh Kelam Signatureypetitecw5

Revenir en haut Aller en bas
X-Naga
Néophyte
Néophyte
X-Naga


Nombre de messages : 153
Localisation : Campement des Bworks
Date d'inscription : 02/06/2007

Tourbière, Yumatoh Kelam Empty
MessageSujet: Re: Tourbière, Yumatoh Kelam   Tourbière, Yumatoh Kelam Icon_minitime28/11/2007, 16:19

En effet c'est bien mais je l'avais déja vu puisque je regarde règulièrement le Zooooooornal...
Revenir en haut Aller en bas
Maman-sin

Maman-sin


Nombre de messages : 25
Date d'inscription : 10/12/2007

Tourbière, Yumatoh Kelam Empty
MessageSujet: Re: Tourbière, Yumatoh Kelam   Tourbière, Yumatoh Kelam Icon_minitime11/12/2007, 23:20

Voici une illustration, en exclu samoulaille. :p

Tourbière, Yumatoh Kelam Yumeownedoriginalzi9
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Tourbière, Yumatoh Kelam Empty
MessageSujet: Re: Tourbière, Yumatoh Kelam   Tourbière, Yumatoh Kelam Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Tourbière, Yumatoh Kelam
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Samoulailles :: Accueil :: La bibliothèque-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser